Jean-Jacques Goldman : l’icône discrète de la chanson française

Jean-Jacques Goldman est bien plus qu’un chanteur. Auteur-compositeur-interprète, musicien et parolier de talent, il a façonné la bande-son de plusieurs générations. Derrière son immense succès se cache un homme discret, attaché à ses valeurs et toujours prêt à mettre sa plume au service des autres.

Une carrière jalonnée de succès

Né le 11 octobre 1951 à Paris, Jean-Jacques Goldman débute dans le groupe Taï Phong avant de se lancer en solo au début des années 80. Très vite, ses titres deviennent des incontournables : Il suffira d’un signe, Quand la musique est bonne, Envole-moi, Je te donne… Sa capacité à raconter des histoires universelles et à toucher le public en plein cœur en fait un artiste à part.

L’homme derrière les chansons

Goldman n’est pas seulement un interprète à succès : il est aussi l’artisan de tubes pour d’autres artistes, parmi lesquels Céline Dion (Pour que tu m’aimes encore, S’il suffisait d’aimer), Patricia Kaas ou encore Johnny Hallyday. Son écriture, à la fois simple et profonde, transcende les genres musicaux.

Un engagement constant

Très impliqué dans l’humanitaire, Jean-Jacques Goldman a cofondé les Restos du Cœur avec Coluche et participé à de nombreuses initiatives solidaires. Chaque année, il a été l’un des piliers des concerts des Enfoirés, mettant sa notoriété au service des plus démunis.

Une retraite médiatique assumée

Depuis le milieu des années 2000, Goldman s’est progressivement éloigné de la scène et des médias, préférant se consacrer à sa famille et à ses proches. Pourtant, son influence reste intacte : ses chansons continuent de résonner, ses paroles inspirent toujours, et il demeure l’une des personnalités préférées des Français.

Un héritage musical indélébile

Avec plus de 30 millions d’albums vendus et une carrière auréolée de distinctions, Jean-Jacques Goldman a laissé une empreinte indélébile dans la chanson française. Sa discrétion, son authenticité et son immense talent en font une figure unique, respectée par ses pairs et aimée du public.

🐝 Loi Duplomb : le retour discret des néonicotinoïdes

Le 8 juillet 2025, l’Assemblée nationale a adopté définitivement la loi dite "Duplomb", qui prévoit notamment la possibilité de déroger à l’interdiction de certains néonicotinoïdes. Une décision lourde de conséquences pour les pollinisateurs, la biodiversité et les équilibres écologiques.

Une dérogation réintroduite, malgré l’interdiction de 2020

Parmi les dispositions les plus controversées de ce texte, figure la réintroduction sous conditions de deux substances insecticides de la famille des néonicotinoïdes : l’acétamipride et le flupyradifurone. Ces molécules, interdites en France depuis 2020 en raison de leur impact reconnu sur les abeilles et autres insectes pollinisateurs, pourront désormais être utilisées en cas de menace grave sur les cultures agricoles.

Une clause de réexamen tous les trois ans est prévue, mais elle ne garantit pas une réelle remise en question de l’usage de ces substances, d’autant que la notion de "menace grave" reste floue et sujette à interprétation.

Un retour en arrière pour les écosystèmes

Les néonicotinoïdes sont accusés d’être en grande partie responsables du déclin massif des populations d’abeilles depuis deux décennies. Leur usage, même ponctuel, contamine durablement les sols, les plantes et l’eau. Leur réintroduction, même sous conditions, affaiblit la cohérence de la transition agroécologique prônée par ailleurs par les pouvoirs publics.

Cette mesure illustre une tendance inquiétante : celle de prioriser les intérêts de l’agrobusiness au détriment des équilibres naturels, de la santé des citoyens, et du respect du principe de précaution.

L’opacité d’un arbitrage politique

Pourquoi revenir sur une interdiction fondée sur des données scientifiques solides ?
La loi Duplomb a été portée par certains élus au nom de la compétitivité agricole, sans réelle évaluation alternative, sans consultation des apiculteurs, ni débat approfondi avec les citoyens. Le compromis trouvé en commission mixte paritaire n’a pas apaisé les inquiétudes : c’est une porte entrouverte que l’industrie chimique pourrait rapidement forcer.

🛑 France Silencieuse appelle à la vigilance

La France ne peut pas se permettre de régresser sur la question des pollinisateurs.
Nous appelons à :

• une abrogation claire de cette disposition dans la loi Duplomb ;

• une transparence totale sur les dérogations accordées ;

• un soutien massif à la recherche et aux alternatives agroécologiques.

La protection de la biodiversité n’est pas une option. C’est un impératif.

📣 Rejoignez-nous pour exiger une agriculture respectueuse du vivant.
France Silencieuse continuera de porter la voix des citoyens dans ce débat décisif.

🖊️ Vous souhaitez agir ?
🔗 Signez la pétition contre la loi Duplomb

https://youtu.be/rdbTi-0AWAY

Ce 14 juillet 2025, la célébration de la Fête nationale a pris une dimension toute particulière avec l’interprétation émouvante de la chanson "On sera là" de Jean-Jacques Goldman. Un moment suspendu, empreint de simplicité, d’unité et d’espoir, qui a touché en plein cœur les millions de Français réunis devant leur écran ou dans les rues.

Une chanson rare, un message fort

Connue pour son absence médiatique mais toujours présente dans les cœurs, l’œuvre de Jean-Jacques Goldman fait partie du patrimoine musical français. "On sera là", avec ses paroles pleines d’humanité et de tendresse, a résonné comme un engagement collectif : celui d’être présent, quoi qu’il arrive.

« On sera là, quand les autres fuient,
Pour tendre la main, pour tenir la nuit… »

Ce refrain simple, mais d’une puissance bouleversante, a été interprété lors de la cérémonie officielle par un chœur intergénérationnel accompagné d’images illustrant les visages de la solidarité française : soignants, pompiers, enseignants, bénévoles, familles unies, citoyens engagés.

Un 14 juillet tourné vers l’avenir

Dans un contexte où la société française continue de faire face à de nombreux défis — climatiques, sociaux, économiques — ce choix artistique a résonné comme une promesse collective : celle de ne pas céder à l’individualisme, de continuer à croire à la force du lien, du "nous", de la présence fidèle dans les épreuves comme dans les bonheurs.

Le Président de la République, dans son discours, a d’ailleurs salué « une France debout, solidaire, fraternelle… une France qui, comme le dit la chanson, sera toujours là. »

Une performance saluée

Sur les réseaux sociaux, les réactions ont été unanimes : émotion, frissons, fierté. Le hashtag #OnSeraLà a rapidement fait son apparition parmi les tendances, accompagné de milliers de messages de reconnaissance, de souvenirs personnels et de photos des rassemblements.

« Ce soir, j’ai pleuré devant ma télé. Merci pour ce moment. Merci à Goldman pour ces mots qui nous rassemblent. » — @CamilleL, sur X.

Un hymne officieux pour les temps modernes

Bien plus qu’un hommage musical, "On sera là" s’est imposée ce 14 juillet comme un hymne officieux de la résilience française. Une chanson qui nous rappelle que, malgré nos différences, c’est ensemble que nous avançons. Ensemble, que nous nous relèverons. Ensemble, que nous serons là.

Recycler les mégots de cigarettes : un défi écologique relevé par TchaoMegot

Saviez-vous que les mégots de cigarettes sont le déchet le plus retrouvé dans la nature et en milieu urbain ? Chaque année, ce sont des milliards de mégots qui finissent jetés par terre, causant une pollution importante et durable. Pourtant, ce petit déchet apparemment anodin est un véritable poison pour notre environnement.

Pourquoi recycler les mégots ?

Un mégot peut polluer jusqu’à 500 litres d’eau et met plus de 10 ans à se dégrader. Sa composition, notamment la cellulose acétate (un plastique), en fait un déchet difficile à éliminer. En plus de polluer les sols et les cours d’eau, il constitue une menace pour la faune et la flore.

TchaoMegot : transformer le mégot en ressources

Face à ce fléau, la société TchaoMegot s’est donnée pour mission de changer la donne en proposant une solution innovante : la collecte et le recyclage des mégots de cigarettes. Grâce à un réseau de bornes de collecte installé dans plusieurs villes et entreprises, TchaoMegot récupère ces déchets pour leur offrir une seconde vie.

Le processus ? Les mégots sont triés, nettoyés puis recyclés en matériaux utiles, notamment pour la fabrication de mobilier urbain, d’isolants ou d’objets en plastique recyclé. Cette démarche permet non seulement de réduire la pollution, mais aussi de sensibiliser les citoyens à un geste simple mais essentiel.

Comment agir ?

Adopter le réflexe TchaoMegot, c’est facile :

• Jetez vos mégots dans les bornes prévues à cet effet, présentes en ville, dans les entreprises et certains lieux publics.

• Encouragez votre entourage à faire de même pour limiter la pollution liée à ces déchets.

Un geste simple pour un grand impact

Recycler ses mégots avec TchaoMegot, c’est contribuer concrètement à la protection de l’environnement, à la réduction des déchets plastiques et à la préservation de la biodiversité. Ce petit geste, répété par des milliers de personnes, peut faire une énorme différence.

Pour en savoir plus et trouver une borne près de chez vous, rendez-vous sur le site de TchaoMegot.