Ce 14 juillet 2025, la célébration de la Fête nationale a pris une dimension toute particulière avec l’interprétation émouvante de la chanson "On sera là" de Jean-Jacques Goldman. Un moment suspendu, empreint de simplicité, d’unité et d’espoir, qui a touché en plein cœur les millions de Français réunis devant leur écran ou dans les rues.

Une chanson rare, un message fort

Connue pour son absence médiatique mais toujours présente dans les cœurs, l’œuvre de Jean-Jacques Goldman fait partie du patrimoine musical français. "On sera là", avec ses paroles pleines d’humanité et de tendresse, a résonné comme un engagement collectif : celui d’être présent, quoi qu’il arrive.

« On sera là, quand les autres fuient,
Pour tendre la main, pour tenir la nuit… »

Ce refrain simple, mais d’une puissance bouleversante, a été interprété lors de la cérémonie officielle par un chœur intergénérationnel accompagné d’images illustrant les visages de la solidarité française : soignants, pompiers, enseignants, bénévoles, familles unies, citoyens engagés.

Un 14 juillet tourné vers l’avenir

Dans un contexte où la société française continue de faire face à de nombreux défis — climatiques, sociaux, économiques — ce choix artistique a résonné comme une promesse collective : celle de ne pas céder à l’individualisme, de continuer à croire à la force du lien, du "nous", de la présence fidèle dans les épreuves comme dans les bonheurs.

Le Président de la République, dans son discours, a d’ailleurs salué « une France debout, solidaire, fraternelle… une France qui, comme le dit la chanson, sera toujours là. »

Une performance saluée

Sur les réseaux sociaux, les réactions ont été unanimes : émotion, frissons, fierté. Le hashtag #OnSeraLà a rapidement fait son apparition parmi les tendances, accompagné de milliers de messages de reconnaissance, de souvenirs personnels et de photos des rassemblements.

« Ce soir, j’ai pleuré devant ma télé. Merci pour ce moment. Merci à Goldman pour ces mots qui nous rassemblent. » — @CamilleL, sur X.

Un hymne officieux pour les temps modernes

Bien plus qu’un hommage musical, "On sera là" s’est imposée ce 14 juillet comme un hymne officieux de la résilience française. Une chanson qui nous rappelle que, malgré nos différences, c’est ensemble que nous avançons. Ensemble, que nous nous relèverons. Ensemble, que nous serons là.

Recycler les mégots de cigarettes : un défi écologique relevé par TchaoMegot

Saviez-vous que les mégots de cigarettes sont le déchet le plus retrouvé dans la nature et en milieu urbain ? Chaque année, ce sont des milliards de mégots qui finissent jetés par terre, causant une pollution importante et durable. Pourtant, ce petit déchet apparemment anodin est un véritable poison pour notre environnement.

Pourquoi recycler les mégots ?

Un mégot peut polluer jusqu’à 500 litres d’eau et met plus de 10 ans à se dégrader. Sa composition, notamment la cellulose acétate (un plastique), en fait un déchet difficile à éliminer. En plus de polluer les sols et les cours d’eau, il constitue une menace pour la faune et la flore.

TchaoMegot : transformer le mégot en ressources

Face à ce fléau, la société TchaoMegot s’est donnée pour mission de changer la donne en proposant une solution innovante : la collecte et le recyclage des mégots de cigarettes. Grâce à un réseau de bornes de collecte installé dans plusieurs villes et entreprises, TchaoMegot récupère ces déchets pour leur offrir une seconde vie.

Le processus ? Les mégots sont triés, nettoyés puis recyclés en matériaux utiles, notamment pour la fabrication de mobilier urbain, d’isolants ou d’objets en plastique recyclé. Cette démarche permet non seulement de réduire la pollution, mais aussi de sensibiliser les citoyens à un geste simple mais essentiel.

Comment agir ?

Adopter le réflexe TchaoMegot, c’est facile :

• Jetez vos mégots dans les bornes prévues à cet effet, présentes en ville, dans les entreprises et certains lieux publics.

• Encouragez votre entourage à faire de même pour limiter la pollution liée à ces déchets.

Un geste simple pour un grand impact

Recycler ses mégots avec TchaoMegot, c’est contribuer concrètement à la protection de l’environnement, à la réduction des déchets plastiques et à la préservation de la biodiversité. Ce petit geste, répété par des milliers de personnes, peut faire une énorme différence.

Pour en savoir plus et trouver une borne près de chez vous, rendez-vous sur le site de TchaoMegot.

Début juillet, la France a suffoqué sous une canicule précoce et intense. Températures records, sécheresse généralisée, sols craquelés… Faut-il encore faire semblant d’être surpris ?

« C’est normal, c’est l’été » entend-on parfois. Non, ce n’est pas normal.
C’est le dérèglement climatique qui s’installe. Et la question est simple : on fait quoi maintenant ?

Le climat a enclenché le “mode apocalypse”

Canicules, mégafeux, sécheresses… Ces phénomènes extrêmes deviennent la norme, pas l’exception. La machine climatique est lancée, alimentée par nos émissions de gaz à effet de serre et nos modes de vie carbonés.

Mais face à l’urgence, deux attitudes sont possibles :

• Faire l’autruche et mettre la clim à fond 🌀

• Ou comprendre et agir, dès maintenant.

C’est là que des voix comme celle de Jean-Marc Jancovici, président du Shift Project, sont essentielles. Avec rigueur et clarté, il décrypte les causes du dérèglement climatique, et surtout les leviers d’action pour limiter les dégâts.

Comprendre, agir, rassembler

Chez France Silencieuse, nous refusons la passivité.
Nous croyons qu’une majorité silencieuse de citoyens souhaite comprendre et agir pour préserver l’intérêt général.

✔️ Comprendre les enjeux grâce à des travaux sérieux comme ceux du Shift Project.
✔️ Agir concrètement pour réduire nos émissions.
✔️ Rassembler tous ceux qui ne veulent plus subir en silence, mais construire un avenir plus soutenable.

Canicule après canicule : quelle société voulons-nous ?

🔥 Comprendre, c’est le début.
💥 Agir, c’est indispensable.
🤡 Ignorer, c’est continuer à foncer droit dans le mur… en short et en tongs.

👉 Face au climat qui déraille, restons lucides, déterminés et solidaires.

➡️ Découvrez les analyses du Shift Project et les propositions de France Silencieuse pour agir dès maintenant. Parce que demain se construit aujourd’hui.

🐪 Landes : des dromadaires pour ramasser les déchets sur les plages

On connaissait les chevaux, les chiens de sauvetage, ou même les drones pour des missions écologiques… Mais dans les Landes, c’est un autre allié inattendu qui fait parler de lui : le dromadaire.

Un ramassage de déchets… à dos de bosse 🐫

Depuis peu, ces animaux venus des déserts arides apportent leur aide sur les plages landaises, en transportant les sacs de déchets ramassés par les bénévoles. Une initiative aussi étonnante qu’ingénieuse, portée par des associations locales de protection de l’environnement.

Le principe est simple : au lieu d’utiliser des véhicules motorisés, les organisateurs misent sur une méthode plus douce, plus silencieuse, et surtout plus respectueuse des dunes et du littoral. Les dromadaires, parfaitement adaptés aux terrains sablonneux, se promènent tranquillement le long des plages, chargés de sacs pleins de plastique, filets, bouteilles et autres déchets marins.

Une démarche écolo et originale

En plus de limiter l’impact carbone, cette méthode suscite la curiosité des passants et attire l’attention sur l’importance du nettoyage des plages. Car oui, voir un dromadaire trottiner sur la côte atlantique, ça ne s’oublie pas ! Et si cela permet de sensibiliser petits et grands à la pollution marine, alors l’objectif est pleinement atteint.

L’écologie avec du style

L’initiative fait sourire, mais elle aborde un sujet sérieux : chaque année, des tonnes de déchets s’échouent sur nos plages. Et pour les ramasser, toutes les idées sont bonnes… même celles venues du Sahara !

Alors, qui a dit que l’écologie ne pouvait pas avoir deux bosses et beaucoup de classe ? 😎♻️